La vie est partout, on le sait. Les arbres sont les premiers êtres vivants victimes de l’urbanisation, puis de la construction à tout va.
Bien sûr, des conférences politiques ont mis en exergue l’intérêt de lutter contre la déforestation. Intérêt étouffé par les lobbies.
Joignons nos volontés et résistances : les beautés que sont les arbres, en sus de leur rôle majeur au sein de la diversité biologique, leur efficacité pour la dépolluton -et même contre les nuisances sonores- doivent être épargnées.
Tel Didier van Cauwelaert a prêté sa plume à un arbre :
« On m’appelle Tristan, j’ai trois cents ans et j’ai connu toute la gamme des émotions humaines. Je suis tombé au lever du jour. Une nouvelle vie commence pour moi -mais sous quelle forme ? Ma conscience et ma mémoire habiteront-elles chacune de mes bûches, ou la statuette qu’une jeune fille a sculptée dans mon bois ? » (Le journal intime d’un arbre),
Luc Arbogast prête sa voix à ces êtres majestueux.
Ecoutons, lisons la traduction, répandons cette bonne parole :
11/04/2019