ÇA C’EST DU CHANGEMENT ! ! ! ! !
Si le prix Nobel de fellation existait, Bayrou l’aurait reçu de longue date, juste après avoir été honoré de la médaille universelle du meilleur laxatif politique.
Toute sa vie politique est jalonnée de flagorneries, mensonges, conneries stratosphériques, inutilités existentielles.
Bayrou a incarné à merveille la conception du vide ultime et de l’agitation stérile.
Bayrou est un contre exemple du principe entropique : il bouge mais rien ne se passe.
Il a autant de charisme qu’une endive dépressive.
Mais là n’est pas vraiment le problème.
Barnier, Bayrou ne sont que les instruments d’un système qui ne peut plus apporter de solutions aux crises qu’il engendre, crises économiques, crises sociales, crises écologiques, crises morales.
La nomination de cette vieille charrue politique, rouillée et pourrie jusqu’à la moelle par toutes les terres souillées qu’il a labourées et engraissées, n’est que l’aveu de l’impuissance du joueur de pipeau vertical élyséen.
Maintenant, on peut essayer d’imaginer la suite et prendre des paris.
Va-t-il être censuré ?
A titre tout à fait personnel je dois avouer que cela me soulagerait.
D’abord pour ne plus voir sa tronche de faux-cul ciré au bran de ses compromissions, et pour ne plus entendre sa voix dégénérée par un larynx déformé par l’objet de son prix Nobel.
Ensuite, parce que cela participerait à ce qu’il ferme définitivement son claque-merde.
Pour être censuré, il faudra impérativement que le NFP soit uni et fasse bloc. C’est là qu’on va rigoler.
Le PS commence à tournicoter du croupion.
« ouaaaaiiis… euuuuuh… booonnnnn, on ne jouera pas avec Fanfan, il a l’haleine un peu chargée des résidus de l’objet de son prix Nobel, mais ouaaaaiiis… euuuuuh… booonnnnn on ne va pas le censurer à priori parce que ouaaaaiiis… euuuuuh… booonnnnn nous non plus on n’a pas une haleine de première fraîcheur ».
Le PS est un ramassis d’une longue lignée de traîtres, de renégats, de raclures infréquentables. Le PS, c’est cette espèce de cloaque dans lequel on trouve du Glucksmann, de l’Enthoven à ses heures, du Flamby parfum transit intestinal, des métastases vallsiennes et tant d’autres qui animent les plateaux TV.
Les Verts ? Ils ne le sont pas cause d’une photosynthèse politique qui leur aurait donné cette teinte. Ils sont verts parce qu’ils sont en état de décomposition avancée. Ça plante des marguerites sur les ronds-points en lâchant des vesses dans un slip à hélice pour produire de l’électricité renouvelable. Nous avons des verts de droite, teinte bleutée, et des verts de gauche, teinte vert pâle. Ce n’est pas par hasard si ver, verre et vert sont homophones, leur transparence rampante est leur marque de fabrique. N’en doutons pas, il vont nous faire une grosse diarrhée bien verte quand il va s’agir de censurer le pompeur nobelisé. Les plus radicaux de ce parti, dans un geste révolutionnaire ultime, vont jusqu’à refuser de mettre un sapin dans leur salon germanopratin le soir de Noël.
Quant au PC, c’est une colonie de morts vivants atteints d’encéphalopathie spongiforme post humaine menée par un Roussel. On pourrait élaborer autour du néologisme « rousselien » mais la colonie qu’il mène suffit à le définir. Être rousselien, c’est patauger dans les poubelles de la politique, c’est se dire écolo et créer une association de chasse communiste, c’est ignorer jusqu’au fondement de ce qui a créé le communisme, c’est trahir son histoire, ceux qui l’ont pensée, ceux qui l’ont construite. Gageons que la mouchette rousselienne les mènera dans la sentine nidoreuse du faquin élyséen.
Bon, eh bien, sur ces considérations, je remarque que les supermarchés ne désemplissent pas de jouets en plastique, de père Noël en chocolat et de champagne frelaté qu’une cohorte de consommateurs responsables convoitent et achètent avec ferveur.
Joyeux Noël à tous, à toi Fanfan, Manu et les autres !
Le 14 décembre 2024